Livre d'or
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Initialement motivé par une série de burn-outs qui ont inévitablement dérivé vers une dépression, la thérapie s'est présentée comme une méthode non clinique pour affronter un mal-être dont je ne faisais qu'effleurer les contours.
Avec l'aide d'Odile Tourret, qui m'a invité à réfléchir sur moi-même, mes peurs, mes tristesses et mes colères, j'ai procédé à une exploration de mon inconscient, de mes souvenirs enfouis sous une couche d'interdits et d'autocensure.
L'analyse transactionnelle a été et reste un outil précieux et simple pour comprendre non seulement le mal-être dont je souffrais, et les différents éléments de ma personne. L'enfant, sa soumission à la mère, puis sa délivrance et sa libération, a pu prendre son essor, respirer, exister, être.
Débarrassé de mes scories psychiques, j'embrasse mon avenir, de nouveaux chapitres à rédiger dans ma vie. -
Entreprendre une thérapie ne fut pas une décision facile à prendre. Après avoir longtemps hésité, je me suis enfin lancée tout en y croyant qu’à moitié. Et pourtant, en à peine plus d’une année de travail, quel chemin parcouru ! Odile pratique une méthode très efficace, sa qualité d écoute est rare et ses prises de paroles sont toujours pertinentes et percutantes.
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Second témoignage : bilan de ma psychothérapie avec Odile Tourret depuis le mois décembre 2014.
Très angoissée, hyper culpabilisée, je n'aimais plus la vie, au point de rêver mourir dans mon sommeil, me sentant trop lâche pour passer à l'acte en commettant l'irréparable.
Aujourd'hui, c'est le cœur léger que je me rends à mon travail, ne prêtant plus attention à certaines réflexions désobligeantes de mes collègues qui me sentant trop vulnérable, désiraient, sans doute, me booster.
Après quelques mois de ce travail entrepris sur moi-même, le sentiment de ne jamais me sentir à la hauteur de ma mission m'a peu à peu quittée.
La confiance en moi semble de nouveau m'habiter.
Étant beaucoup plus indulgente avec moi-même, m'accordant ainsi le droit à l'erreur, le stress ne m’envahit plus devant l'imprévu.
L'amour de la vie investissant de nouveau ma tête et mon corps, je me surprends à désirer m'inscrire à des formations, lire et sortir.
Si, voici seulement quelques semaines, je pleurais encore le rejet de ma nièce, je suis persuadée à ce jour n'avoir commis aucun impair envers elle, qui, retrouvant grâce à moi, l'affection de sa mère, a rejeté la mienne, lui étant plus nécessaire !
A ce jour, il ne me reste plus qu'à renforcer davantage ma confiance en moi-même, pour continuer à aimer la vie, en continuant à remplir ma principale mission de vie, l'empathie, l'amour de mon prochain. -
Délicieusement entourée, au sein de la famille que j'ai fondée avec mon adorable mari et mes gentils enfants, jamais je n'aurai songé un seul instant, qu'un jour le démon de la dépression viendrait me surprendre.
En effet, ayant pourtant choisi de quitter l'ancien service de l'hôpital Trousseau, où j'exerçais mes fonctions d'infirmière, pour le suivre dans son déménagement vers l'hôpital Necker.
Mon admiration envers mon chef de service, professeur mondialement connu, mais surtout très humain et reconnaissant envers son personnel, avait eu raison de mon choix.
Mais devant les conditions de travail devenues encore plus stressantes et angoissantes, mon corps a refusé d'obtempérer avec ma décision mentale.
Deux nuits de travail dans ces nouveaux locaux ont été suffisantes pour provoquer en moi la survenue d'un burn-out, ainsi qu'une pneumopathie nécessitant une hospitalisation de dix jours et un arrêt de travail d'un mois.
Tout à coup, mon corps me disait STOP !
Désemparée, démunie, face à cette soudaine dépression.
Que m'arrivait-il ?
Le sentiment d'inutilité m'envahissait totalement. Il m'était devenu impossible de me supporter dans cet état. Je me surprenais à détester la vie, malgré la présence de mes enfants et de mon mari qui ne parvenaient plus à me rassurer.
Qu'étais-je devenue ?
Les responsabilités, qu'auparavant je parvenais à prendre me terrifiaient. Me sentant comme en dehors de moi-même; croyante, je suppliai le Seigneur de me rappeler auprès de lui.
Mes prières n'ayant pas été exaucées, je fini par accepter les conseils de mon médecin traitant, qui après m'avoir prescrit des médicaments anxiolytiques : Alprazolam=Xanax et antidépresseurs : Escitalopram=Séroplex, me conseilla d'aller consulter un psychiatre.
N'en connaissant pas personnellement, j'ai donc pris rendez vous avec celui qui consultait le plus près de mon domicile.
Ma première consultation chez ce médecin n'a malheureusement fait que raviver mon mal-être, l'envie d'en finir envahissait tout mon être.
Ne soyez pas si négative. Gardez confiance en vous, comme vous arriviez à le faire avant ce 5 Avril 2013. Reprenez le travail comme si rien ne s'était passé. Telles furent les paroles prononcées par ce médecin "spécialiste" de la détresse mentale !
Continuant à vivre tant bien que mal, j'essayais en vain, de suivre les conseils de ce psychiatre, espérant retrouver mon ancienne joie de vivre, ou le courage de commettre l'irréparable, afin de me débarrasser à tout jamais de cette culpabilité de n'être plus à la hauteur de ma mission de vie.
La peur de devenir une charge, par mon manque de dynamisme, envers les êtres que j'aime le plus au monde: mon mari et mes deux enfants m'envahissait totalement.
Mais comme le dit le proverbe : "Quand l'élève est prêt, le maitre n'est pas loin".
Un jour, à la fin d'une séance de méditation, animée par une de mes amies, laissant exprimer mon désespoir par le versement de mes larmes, mon amie, comprenant le mauvais choix de ce premier thérapeute m'a conseillé Odile Tourret, qu'elle connaissait pourtant depuis très peu de temps, mais dont elle avait néanmoins perçu les compétences.
Après un an de thérapie, à raison d'une séance par semaine, je lui suis encore très reconnaissante de m'avoir indiqué cette personne.
Me décider à retenter l'expérience d'une nouvelle consultation chez une autre personne spécialiste de la souffrance de l’âme ne m'a pas été facile.
Néanmoins, il fallait que je me décide.
Vivre et non survivre, paralysée par le stress et la culpabilité d'être tombée si bas ou bien mourir.
Comme je l'ai confié à Odile au cours de ma première consultation de part la profession que j'exerce, j'ai la possibilité de me procurer de quoi commettre l'irréparable, mais je suis tellement nulle que je suis fichue de me louper !
Il m'était impossible d'imaginer retrouver mon dynamisme et ma joie de vivre. Le désespoir et la culpabilité m'envahissaient totalement. Je me répétais sans cesse : "Comment oses-tu te plaindre ! Tu exerces un métier humain, gratifiant, qui te passionne et t'a donné l'occasion de te faire des amies. Comment ne pas aimer la vie, te sachant si bien entourée par un mari aimant, attentionné et tes deux adorables enfants, qui finiront par ne plus te comprendre et peut-être te rejeter, si tu continues ainsi à te morfondre sur toi-même. Serais-je devenue égocentrique ?"
Comme vous pouvez sans doute l'imaginer, aller à ce premier rendez-vous, chez Odile Tourret, était loin d'être une évidence pour moi.
La honte d'être tombée si bas me paralysait totalement.
La crainte d'entendre des réparties, entendues chez le psychiatre, consulté trois semaines avant, du genre : "Secouez vous ! Vous avez de la chance d'exercer un métier qui vous plait, de ne pas avoir connu le chômage, d'être heureuse en ménage. N'écoutez pas les critiques négatives dirigées contre vous."
L'écoute, l'empathie et le professionnalisme d'Odile m'ont très vite rassurée. Je me suis très rapidement sentie en confiance. Le manque de précision dans le récit de mon mal-être n'ont suscité aucune critique ou remarque désobligeante de sa part envers moi. Bien au contraire. Dès cette première consultation, je me suis sentie comprise et entendue.
Comme me l'avait dit Odile, si je continuais ma thérapie avec elle, peut-être un jour, en l'occurrence, environ trois semaines plus tard, il ne m'était plus nécessaire d'absorber les anxiolytiques et antidépresseurs que m'avait prescrit mon médecin traitant.
A ce jour, même si parfois certaines séances ne sont pas toujours faciles a vivre pour moi, lorsqu'il faut par exemple essayer de ressentir des émotions de mon enfance, je suis heureuse et satisfaite du travail accompli sur moi-même voici déjà un an.
Grâce à lui, je me sens enfin mieux dans ma peau. La joie de vivre se réinstalle en moi.
Avec Odile, j'ai appris à être plus précise dans le récit de mes émotions, à être plus indulgente envers moi même, à me refaire confiance, à tout simplement m'aimer et m'accepter telle que je suis !
Grâce à elle, les critiques négatives des autres ne me blessent quasiment plus.
Pour conclure je citerai une des premières phrases que Odile m'a dite et qui m'a bien boostée : "La personne la plus importante au monde, celle qui nous accompagne, sans faille, de la naissance à la mort, c'est nous même." -
Ma première séance de thérapie avec Odile Tourret est le premier pas que j’ai fait vers moi-même, c’est-à-dire que je me suis enfin posée pour travailler EXCLUSIVEMENT sur moi et pour moi.
Étant de nature réservée, j’ai appris à m’ouvrir et à faire confiance véritablement à Odile Tourret. La thérapie est une solution, elle est certainement LA première solution envisageable pour tous et par tous.
Je suis licenciée économique et c’est pour moi une opportunité qui donne du sens à ma vie car grâce au travail réalisé pour moi avec l’aide de ma thérapeute, je suis prête aujourd’hui à réaliser l’un de mes plus beaux rêves.
J’ai la chance d’avoir une thérapeute très efficace, et la sagesse d’investir sur moi-même. -
Cela fait presque un an que j'ai commencé ma psychothérapie avec Odile, aujourd'hui pour la première fois de ma vie j'ai compris que mon bonheur est prioritaire et que je dois juste être moi même pour être aimée.
Tout au long de ces mois j'ai traversé plusieurs états d'âme, une nouvelle vision de ma relation avec les autres s'ouvre à moi, je découvre une nouvelle réalité, je découvre la vraie Fabiana, et j'apprends à m'accepter telle que je suis, à accepter mes émotions, que j'ai ignorées et étouffées pendant 38 ans.
La vie a un autre goût, elle est plus douce, parce que je suis plus douce avec moi même.
Cette pression que je sens sur moi depuis toute petite se dissipe chaque jour un peu plus.
Il y a encore du chemin à parcourir, mais je garde le cap et j'apprécie celui que j'ai parcouru et je reste confiante que tous ces efforts m' amènent vers le bonheur total que je mérite. -
Je trouve chez Odile TOURRET une écoute fine, un soutien sans faille, beaucoup d'énergie pour me reconstruire et une approche très efficace, pour la première fois de ma vie ( j'ai 67 ans et 20 ans de développement personnel et de thérapie derrière moi!).Merci
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"Tout le monde peut devenir papillon".
Odile TOURRET a su traverser, comprendre, ressentir et dépasser les plus grandes souffrances de l'âme humaine.
Aujourd'hui, enrichie d'outils professionnels des plus performants, elle choisit avec bienveillance de mettre cette expérience exceptionnelle au service des autres. -
Grâce à Odile, en un an et demi de psychothérapie avec elle, j'ai pu avancer à pas de géants : elle va droit au but, elle cible immédiatement le problème, elle ne lâche pas et s'implique à 100%.
Mon évolution est d'autant plus probante que son discours est direct, concret et efficace. Je ressens qu'elle se met à ma place, elle me parle de manière concrète et simple. Elle emploie des mots à la portée du néophyte que je suis en psychologie et me conseille avec des exemples concrets sur comment gérer mes soucis.
Avec elle, nous sommes loin des thérapies floues, longues, juste théoriques et inefficaces.
Un vrai génie dans son domaine ! -
Je suis un des proches et des plus fidèles amis d'Odile, je la connais depuis 25 ans et je peux témoigner qu'elle revient de très loin.
Aujourd'hui, c'est un phœnix qui renait de ses cendres.
Je suis stupéfait par la transformation rapide des gens qu'elle accompagne.
Son parcours force l'admiration ! -
J'avais des difficultés à communiquer avec mes enfants qui étaient en conflit, alors j'ai voulu tester une séance gratuite avec Odile. J'ai constaté que c'était de suite efficace, j'ai donc décidé de continuer à travailler avec Odile pour améliorer ma communication et ma confiance face à de nouveaux challenges professionnels qui se présentaient. Après 5 mois de séances de psychothérapie dans lesquelles je me suis impliquée, je suis heureuse de partager ma joie : ma communication est fluide avec mes enfants et j'ai relevé avec succès un premier défit professionnel très important pour moi.
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Odile m'a beaucoup aidé. Sa douceur, sa profonde compassion et sa détermination à ne jamais renoncer m'ont prouvé que toutes les blessures anciennes, même les plus purulentes, pouvaient être cicatrisées.
Elle incarne à merveille cette vérité. -
Je suis une amie d'Odile depuis l'époque de notre adolescence, il y a 35 ans de cela, et je la connais intimement.
Je sais tout des phases tellement difficiles qu'elle a pu traverser depuis son enfance, j'admire son courage et sa persévérance.
Aujourd'hui, grâce à de longues années de thérapie et à une très solide formation de psychothérapeute, grâce aussi à sa profonde vitalité, elle peut enfin exprimer son plein potentiel.
Je sais qu'elle est une excellente thérapeute, car elle est capable de comprendre la souffrance de l'autre et de l'accompagner avec empathie, humanité et efficacité.
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